Dernières impressions de 2009 le sentiment du bonheur de Dieu. Ce matin en prière, je me suis entendu déclarer combien j’étais heureuse, heureuse de ce que Dieu était en train d’obtenir ce qu’Il voulait et que les choses se déroulaient dans Son plan. J’ai ressenti une grande joie dans le cœur du Père. Je me suis arrêtée et j’ai commencé à penser combien il était bon et fascinant de travailler avec et pour Dieu. Il est extraordinairement optimiste et sûr de Lui-même.
Il y a quelque temps, alors que nous étions en train de préparer et travailler sur différents aspects de la convention de prière de fin janvier, les disponibilités des orateurs, l’organisation et qu’une certain pression commençait à se faire sentir, pendant que je voyageais non stop et était par ailleurs prise par le travail, je me demandais pourquoi j’avais accepté ce fardeau supplémentaire. Et c’est là où le Seigneur a parlé dans mon cœur. Il m’a rappelé qu’Il m’avait dit à moi d’appeler une convocation de prière. Est-ce que moi j’avais l’intention d’y être? J’ai répondu oui, dans quel cas, fais le. Affaire réglée.
Je me suis rendu compte que toutes ces choses qui me préoccupaient étaient sans importance, et qu’il suffisait de continuer à obéir et à faire ce qu’Il me dira de faire. Cela m’a bénie. Et par la suite Dieu nous a accordé une grande faveur à tous les niveaux. Pourtant à partir de cette conversation, est resté gravé profondément en moi le fait que Dieu n’est nullement impressionné par toutes ces choses qui d’habitude nous préoccupe, nullement impressionné par notre pédigrée, seul compte notre soumission et notre obéissance.
Je sais donc que si je suis obéissante, peu importe ce qui pourrait arriver, peu importe qui d’autre sera là, Dieu Lui y sera. Et c’est la seule raison pour laquelle nous faisons tout cela, la présence manifeste de Dieu. C’est une véritable obsession avec moi. C’est la raison pour laquelle nous jeunons et passons beaucoup de temps en prière avant Parakletos. Et Dieu est toujours venu, et quand Il vient Il nous amène beaucoup plus loin dans l’Esprit. Et à la fin, je suis toujours émerveillée et pénétrée du sentiment de la grandeur infinie de Dieu et l’honneur que c’est de Lui appartenir.
Ainsi à 59 minutes de la nouvelle année, je suis très heureuse car je ressens la joie du cœur du Père, et je crois qu’Il viendra encore cette fois ci. Mais en même temps, je ressens ce cri désespéré pour la présence de Dieu, un cri désespéré pour cet endroit en Dieu où aucune musique ne peut nous amener, où la prophétie ne peut nous amener, où aucune prédication ne peut nous amener, où aucun artifice ne peut nous amener, où seul le plaisir de Dieu sur nous et l’offrande de notre vie peut nous conduire.
Advienne ce qu’il adviendra, vienne qui viendra, Père si Toi tu viens, je serai profondément satisfaite.
i love it!!