Ce matin j’ai commencé à penser au culte d’hier, et je me suis retrouvée, encore une fois à penser à Dieu: à penser à ce que Dieu aime. Ce n’est un secret pour personne dans mon entourage, je recherche l’approbation de Dieu. Je vis devant un auditoire unique.
Je pensais donc à quel point le culte était rempli — (non pas de monde, pas encore) mais de vie, de Dieu. Nous aurions pu continuer longtemps, c’était tellement riche. On est constamment émerveillé par cette présence presque palpable de Dieu expérimentée dans nos réunions. Et ce matin, j’avais comme l’impression d’avoir saisi en partie ce que devait ressentir David lorsqu’il a lancé ce cri désespéré à Dieu, ‘ne me rejette pas loin de ta face, ne m’enlève pas ton-Saint-Esprit’. Une vie, une église sans la présence du Saint Esprit est un désert, une solitude aux effroyables hurlements. Ce qui me fait donc réfléchir, longuement, sur ce en quoi consiste l’église, sur le type d’atmosphère que Dieu aime, et sur le genre de personne qu’Il aime cotoyer.
Rien à voir, fort heureusement avec les rites, ou avec l’attirail, nous en avons peu. Les apôtres aussi par ailleurs . Ils n’avaient ni un groupe de louanges 100 fois primé, ni un graphisme à vous couper le souffle, ni par ailleurs un diplôme en théologie des plus grandes écoles. En réalité lorsqu’ils ont été convoqués devant les autorités pour ‘exercice illégal de la médecine’, (perspective légèrement humoristique de la situation) il nous est dit que les autorités les ont regardés et les ont vu comme étant sans éducation, sans connaissance théologique; mais elles ont pris note qu’ils ont été avec Jésus.
Formidable encouragement pour moi et pour ma petite bande; Je crois pouvoir dire que pas un seul d’entre nous ne semble avoir été taillé sur mesure pour cette entreprise, et moi encore moins que quiconque, mais je continue à penser et à leur répéter que c’est probablement le fait de ne pas sembler être ce qu’il faut qui soit notre plus grand atout. Peut-être que si nous aussi nous devions passer beaucoup de temps avec Jésus, il continuera à déteindre sur nous. Peut-être que si nous devions vivre au quotidien dans la douce atmosphère de sa présence, nous l’amènerons a d’autres et lorsque nous tous réunis pour l’adorer, nous connaitrons une plus grande mesure de Sa présence. Peut-être que c’est en reconnaissant que mon aide vient du Seigneur, et en célébrant Dieu le Saint Esprit que nous trouvons ce que nous recherchons.
Il s’agirait donc d »une des choses que Dieu aime, des gens qui L’apprécient sincèrement, qui aiment passer du temps avec Lui, et Il le leur rend bien. Pourtant je sais que nous sommes à bord d’un bateau de découverte dans un voyage aussi long que la vie elle-même. Mon frère Paul exhorte l’église d’Ephèse et à travers elle celle de Paris à découvrir ce qui plaît à Dieu, et jusqu’à mon dernier souffle, je resterai à bord de ce bateau, parce que quand Dieu se présente…
EN sa présence je me sens posé tranquil .A grande dose je me sens trés fort,et rien ne peut rivalisé avec cette puissance qui est en moi comme David je ne veux qu’il reprenne son Esprit car La Gloire de Dieu depasse toute chose sur terre personne ne peut le test c’ lui l’unique Dieu.
Connaissant son amour sa patience et sa puissance je ne peut que rester sur le bateau car je suis avec le gagnant .
Et le gagnant c’Dieu ,c’Jesus incontesteé incontestable pour l’éternité.
Oui, oui, oui, oui à Sa présence, Oui à Sa gloire, Oui à Sa puissance, Oui surtout à son approbation! Tout ce qui compte c’est que Jésus soit au milieu de nous. Quand je sens sa présence, j’oublie tout: ce que je ne suis pas, ce que je ne peux pas faire, ce que j’ai encore à faire, ce qui m’agace, ceux qui ne me comprennent pas, ce que je veux, si j’ai faim, si j’ai soif…et je n’ai qu’un désir demeurer dans Sa présence SI RELLE, et lui dire « oui Seigneur, je veux ce que Tu veux »
Quand Dieu est là, il comble tout! On oublie tout!
J’embarque sur le bateau moi aussi! car avec Dieu aux commandes quelle merveilleuse croisière!
Dieu nous réserve une vie pleine de paysage magnifique, une vie colorée et passionnée.
J’expérimente déjà cette réalité, et je m’émerveille chaque jour de son désir de faire de nos vies des instruments de sa gloire.
Oui colorée et passionnée, j’aime ça. Dieu n’est ni terne, ni ennuyeux et la vie en Lui non plus.